Providedto YouTube by Smithsonian Folkways RecordingsMonter sur un Éléphant · Hélène Baillargeon and Alan MillsChantons en Francais; Vol. 1, Part 1: French

Planète Selon le rapport, l’Inde et la Thaïlande sont ceux qui respectent le moins les régulations en Asie. Le manque de liberté des pachydermes et une mauvaise alimentation sont déplorés. Réalisée par une organisation non gouvernementale ONG internationale et publiée jeudi 6 juillet, une étude inédite met en garde contre les conditions inacceptables » dans lesquelles vivent souvent les éléphants, exploités en masse par l’industrie du tourisme en Thaïlande. Les chercheurs de World Animal Protection WAP ont visité plus de 220 attractions montrant des éléphants à travers l’Asie, soit 90 % des entreprises du secteur, selon l’ONG. Au terme d’une étude de deux ans, leur rapport éclaire un secteur échappant souvent aux régulations, avec au total les trois quarts des éléphants à touristes » qui vivent dans des conditions mauvaises, voire inacceptables ». Lire aussi Maltraitance animale les dix attractions touristiques les plus cruelles Sur les 2 923 éléphants recensés dans l’industrie du tourisme, 2 198 se trouvent en Thaïlande. Viennent ensuite l’Inde 617 éléphants, le Sri Lanka 166, le Népal 147, le Laos 59 et le Cambodge 36. Pour ce qui est de l’évaluation des conditions de vie, l’Inde et la Thaïlande sont, là aussi, les plus mauvais élèves en Asie, alors qu’un pays comme le Cambodge traite plutôt bien les éléphants qu’il emploie dans le secteur touristique. L’apparition de parcs à éléphants alternatifs Quand ils ne sont pas utilisés pour des promenades ou des spectacles, les éléphants sont enchaînés jour et nuit, le plus souvent avec une chaîne de moins de 3 m de long », souligne le rapport. Un constat fait à travers toute l’Asie. La nourriture qui leur est donnée n’est pas bonne, ils ont des soins vétérinaires limités et sont souvent gardés dans des endroits stressants, avec de la musique forte ou des groupes de touristes, sur un sol en ciment. » L’industrie des parcs à éléphants en Thaïlande s’est développée dans les années 1990, après l’interdiction de l’exploitation des éléphants pour transporter des arbres dans le secteur forestier. Aujourd’hui, l’attraction est populaire auprès des dizaines de millions de touristes qui se rendent chaque année en Thaïlande. Commencent à apparaître des parcs à éléphants alternatifs, lesquels ne proposent pas de balades à dos de pachyderme, mais seulement l’observation de ces animaux. Le Monde avec AFP Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Découvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois ordinateur, téléphone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe. TableInstallée Perpendiculairement À Un Bureau; Agence Spécialisée De L'onu, Installée À Paris; Chaise Installée Sur Un Éléphant En Asie; Bien Installee Pour Diner; Le Ministre Blanquer Ne L'a Installee Que Dans Ses Discours; Installee Dans Ses Quartiers; Installée Sur Un Siége; Maison De Joaillerie Installée Place Vendôme Derniers jours dans le pays au million d’éléphants, alors on ne résiste pas au plaisir de les voir encore, peut-être pour la dernière fois dans de telles conditions. Je me réveille et je me dis que ce matin, je ne vais pas seulement accompagner les enfants et Angela mais que je vais, moi aussi, voir le beau paysage du Laos comme je ne pourrais jamais le voir de l’intérieur. Je ne serai pas à la lisière de la forêt mais dans la forêt, je ne serai pas au bord de l’eau mais sur l’eau ; et enfin, le gâteau devant moi, je pourrai le manger !C’est à 10 heures que le van vient nous chercher devant notre guest house. Nous avons eu bien le temps de prendre un petit déjeuner roboratif et prenons la direction de Vientiane. Et au bout de 25 minutes nous tournons à gauche sur une piste de terre 5 km plus loin, le van s’immobilise devant la rivière Nam Kan. C’est splendide ! La nature sauvage est fantastique les gorges de la rivière sont bordées par la jungle tropicale ; nous sommes au milieu d’une forêt de tecks. Le plus impressionnant est le calme, un silence à la réalité ; notre guide nous montre où sont les éléphants de l’autre côté de la rivière ! Je regarde dubitativement arriver notre bateau… heu, notre pirogue 80 cm de large pour 6 à 7 mètres de long… le tout propulsé par un long mât et une hélice au bout. Trois hommes soulèvent Tornado, et les roues se retrouvent coincées entre deux cale-pied mais j’y suis sur cet esquif ! Nous commençons à naviguer ; j’ai vraiment cru, et à plusieurs reprises, que nous allions dessaler ! Le bateau tangue et l’équilibre est précaire. Les sensations sont pour moi d’autant plus fortes que je suis perché en hauteur, sur ma monture ! Nous reprenons contact avec le plancher… des éléphants oui, ils sont bien là, magnifiques ! Il y a trois jeunes femelles entre 25 et 35 mon calvaire n’est pas terminé LOL encore une longue pente super-raide, puis l’escalade de la plate-forme pour arriver à la hauteur de la nacelle, et enfin le transfert sur la nacelle. Mais l’équipe est formidable et les petits jeunes me soulèvent, me portent et me reposent. Moi, qui d’habitude déteste être un paquet aujourd’hui c’est différent, c’est pour la bonne cause ! Enfin, j’y suis !!!! C’est GENIAL, MAGNIFIQUE, FORMIDABLE !!!! Jusqu’à la dernière minute, je m’étais préparé à ce que l’on me dise que finalement, je ne pouvais pas monter sur l’éléphant. Mais j’y suis et je suis heureux. Angela et les enfants sont sur un autre éléphant ; nous partons pour une heure de balade dans les forêts de tecks, puis nous traversons la rivière dans les deux inouï cette impression de force tranquille. Je suis bercé à 3 mètres du sol au rythme de ses pas. On dirait que rien ne pourrait l’arrêter. Son cornac descend par moments, en profite même pour piquer une petite tête dans la rivière. Le moment est vraiment Je suis balloté de toutes parts et je dois faire en sorte d’éviter que mon dos touche le dossier de la nacelle les à-coups pourraient me blesser. Il a donc fallu user de toute la force de mes bras pour rester en équilibre mais tous ces efforts valent la peine et je suis déçu que cela soit déjà terminé. Je récupère Tornado ; les enfants sont conviés par notre cornac à la baignade d’un éléphant. A peine le temps de le dire ils sont déjà dans l’eau ! Les éléphants doivent prendre un bain toutes les deux heures pour faire baisser leur température corporelle. Le retour fut pire que l’aller, dans le sens où je savais déjà ce qu’il allait se passer ! La pente est tellement raide qu’il faut la prendre à l’envers…en reculant ; puis retour dans la pirogue ; il y a même un moment où je ferme les yeux tellement ça penche !Enfin la terre ferme… Ouf, pas de baignade involontaire pour moi !Mais que c’était bien !!! Petite aparté, qu’on se le dise, Hannibal est bientôt de retour…. TableInstallée Perpendiculairement À Un Bureau; Agence Spécialisée De L'onu, Installée À Paris; Chaise Installée Sur Un Éléphant En Asie; Bien Installee Pour Diner; Le Ministre Blanquer Ne L'a Installee Que Dans Ses Discours; Installee Dans Ses Quartiers; Maison De Joaillerie Installée Place Vendôme; Antenne Circulaire Installée

Silencieux et invisible à l'oeil nu, il a terrassé trois éléphants d'Asie - une espèce en danger - du zoo de Zurich en un mois. Ce redoutable tueur qu'est le virus de l'herpès a laissé les scientifiques impuissants. Il ne reste plus que cinq des huit éléphants d'Asie qui peuplent les m2 qui leur sont dédiés dans le zoo surplombant la plus grande ville suisse. "C'est un peu triste, surtout qu'ici à Zürich, les éléphants ont assez de place", a indiqué à l'AFP Mauro Müller, 29 ans, habitué du parc animalier. Le jeune Umesh, 2 ans, fut le premier à ne pas avoir réussi à tromper le virus de l'herpès fin juin. Suivi quelques jours après par sa soeur Omysha, 8 ans, puis par une jeune éléphante de 5 ans, Ruwani, d'un second troupeau matriarcal sans contact avec les deux premiers. Tous ont été emportés de façon foudroyante par ce virus qui déclenche une hémorragie interne et une défaillance des organes. En captivité, ce virus "est la principale cause de décès des éléphants âgés de deux à huit ans. Cela arrive aussi dans la nature mais il est plus difficile à détecter" car les animaux sont moins surveillés, a expliqué à l'AFP Pascal Marty, conservateur du zoo de Zurich. Le virus de l'herpès est présent à l'état latent chez presque tous les éléphants, tant en liberté qu'en captivité. Il ne devient dangereux que lorsqu'il se multiplie fortement dans l'organisme. Les scientifiques ignorent encore en grande partie ce qui provoque chez certains cette poussée virale mortelle. "Nous ne savons toujours pas pourquoi et quand cela se produit", a indiqué M. Marty, plein de tristesse. Les cinq puissants pachydermes encore en vie- tous adultes - ont pu eux passer quelques heures auprès des dépouilles de leurs jeunes compagnons. "Nous leur laissons le temps, comme pour dire adieu. Ils réalisent que l'animal n'est plus en vie, ils les touchent avec la trompe", a raconté ce spécialiste en comportement animalier. Moins d'une semaine après le troisième décès, ils vaquent désormais avec nonchalance à leurs occupations, entre baignade et recherche de nourriture, glissant leurs trompes dans des trous où des carottes et de l'herbe sèche sont glissées de façon aléatoire par un programme informatique pour les forcer à marcher comme à l'état sauvage. - Stress - Ouvert en 2014, le nouvel enclos leur offre six fois plus de place que le précédent. Mais huit ans après l'ouverture en grande pompe de cet espace, le parc traverse des "jours difficiles". "Il est particulièrement frustrant de constater que nous sommes impuissants face au virus, malgré les meilleurs soins vétérinaires prodigués par l'hôpital vétérinaire universitaire de Zurich", a assuré le directeur du zoo Severin Dressen. Il n'existe pas de vaccin, et les traitements antiviraux n'ont que 30% de chances de succès. "L'épidémiologie de la maladie n'est toujours pas claire. Le virus est excrété par intermittence par les adultes, mais avec une fréquence accrue pendant les périodes de stress, ce qui est considéré comme la source d'infection des jeunes" individus, a indiqué à l'AFP le Dr Bhaskar Choudhury, vétérinaire et membre du groupe sur les éléphants d'Asie à l'Union internationale pour la conservation de la nature UICN. "L'UICN est très préoccupée par la mortalité dans le monde entier en captivité et plus encore dans la nature", a-t-il souligné. L'éléphant d'Asie, qui peut vivre jusqu'à 50-60 ans, est inscrit sur la liste rouge des espèces en danger de l'UICN. Il en resterait environ à l'état sauvage. La déforestation, l'expansion urbaine et le développement des surfaces agricoles les privent de leur habitat naturel. Le braconnage et le commerce illégal de l'ivoire menacent également les troupeaux. "Les populations sont en déclin presque partout. Pour des raisons de conservation, il est très important que nous ayons des populations d'éléphants d'Asie en bonne santé" comme ici à Zurich, a relevé le Dr Marty. Les éléphants de zoo sont des "ambassadeurs de leur espèce, nos partenaires pour éduquer les gens sur les problèmes" auxquels ils font face à l'état sauvage, a-t-il dit. Le virus qui a frappé le parc "ne change rien à notre objectif" de les élever, a-t-il assuré.

Lancéen 2020, ce système a envoyé plus de 9 000 messages d'alerte, jouant un rôle crucial dans l'apaisement des conflits entre hommes et éléphants et
Après notre trajet en train qui a duré plus de 15 heures, nous sommes arrivés à Chiang Maï à minuit et là il a fallu trouvé un hébergement...et à 9, les choses ne sont pas forcément aisées !!! On a fini par trouver une Guest house à 1 heure du mat et on n'a pas fait les difficiles ! La nuit fut courte et au matin nous avons déménagé dans une autre guest house bien plus sympa, avec coure intérieure et piscine, le top ! Nous étions le 5 décembre jour de l'anniversaire de Mattéo, nous avons donc remué ciel et terre pour pouvoir fêter ça dignement ! Nous avons eu de la chance, son anniversaire tombait le même jour que celui du roi de Thaïlande et pour cette occasion un air de fête régnait dans la ville, il y a même eu un petit feu d'artifice ! Nous avons commencé la soirée par un magique lâché de lanternes. Puis à la demande de Matteo, nous avons mangé dans un resto spécialisé dans le hot pot. Nous avions déjà testé au Laos, le principe est simple, il y a un trou au milieu de chaque table dans lequel un petit BBQ est disposé et sur lequel on fait griller sur la plaque ou bouillir dans l'eau ses aliments choisi sur le buffet servi à volonté !!!! Tout le monde s'est régalé, il y avait même des frites pour Violetton, ouf sauvée -D Et pour finir la soirée en beauté, nous sommes rentrés à la guest house pour manger LE gâteau d'anniversaire et ouvrir les cadeaux ! Matteo, ne s'y attendait pas, nous avions commandé un super gâteau dans une pâtisserie et notre petit prince a soufflé ses 8 bougies avec un grand sourire !!! Allez tout le monde au lit demain nous partons pour 6 jours d'aventures à moto !!!! Nous avions envie d'authentique, d'aventure, de dépaysement, de vivre une expérience forte en famille, de plonger dans le cœur de la Thaïlande du nord et de s'en mettre vraiment plein la vue et bien quoi de mieux que de louer des motos et de faire la boucle de Mae Hong Son ? Pour se faire, nous avons loué 4 motos et y avons répartis les deux familles et les sacs ! Le loueur Mr Méchanic, nous a gentiment gardé les sacs le temps de notre escapade et nous sommes partis avec un sac par famille. Moi et ma sœur pour qui d'ailleurs la conduite d'une moto était une première expérience ! avions chacune une 125 cc automatique avec un enfant derrière. Thomas avait un enfant et un sac et Jérôme avait le même équipage plus Eva assise devant lui sur un siège spécial que nous avons acheté à l'occasion de cette virée ! Chacun a choisi son casque, une rapide mise en main pour la famille ROMAN, et un tour de pâté de maison plus loin, mis en confiance, le convoit a mis le cap vers notre première destination Paï. Chiang Mai - Paï 160 km Une fois quittés la ville, nous sommes arrivés sur une route plus étroite mais en très bon état, loin de la pollution et de la circulation dense de la ville. Le paysage s'est brusquement métamorphosé, une pleine palette de verts nous a envouté. La température a d'un seul coup chuté, premier arrêt pour enfiler nos polaires ! La route qui était jusqu'à présent une longue ligne droite et plate s'est vite transformée en de petites montagnes, la route montait descendait, virait à droite, à gauche... ! Pour une première expérience à moto, Charlotte est servie ! Cette portion de route est réputée pour être très sinueuse, de Chiang Maï à Paï, on dénombre 762 virages !!! Et oui rien que ça ! Mais franchement à moto, c'était un vrai régal ! Midi est vite arrivé et nous nous sommes arrêtés dans un café/resto au bord de la route ! On a eu un bon feeling de s'arrêter ici, un vrai havre de paix avec des moutons et agneaux à nourrir au biberon, de la nourriture excellente, des cafés glacés comme on n'en a jamais bu, un vrai bon moment de détente avant de reprendre la route. Premier bilan, premières impressions de cette balade à moto POSITIF pour tout le monde !!! Les adultes sont comme les enfants, excités, grisés, heureux quoi !!!! c'est bon la chantilly sur le café ! Allez en route, notre prochain arrêt sera pour les sources chaudes Pong Duat Geyser ! Ha comme c'est agréable de s'immerger dans un bassin d'eau chaude et de se détendre dans le calme de la foret, le cadre est splendide, tout le monde en profite bien puis c'est l'heure de remonter en selle, l'heure tourne et il ne faudrait pas arriver avant la nuit..... Oup's il nous reste encore pas mal de kilomètres à faire et avec tous ces virages notre moyenne n'est pas très haute, on doit rouler à environ 40 km/h et le soleil décline vite...trop vite...le froid se fait sentir de plus en plus et puis arrive ce qui devait arriver, on a roulé de nuit...pas cool...mais bon on est plus très loin, on rêve d'un bon lit et d'une douche brûlante... On s'arrête à la première guest house venue qui nous annonce qu'elle est pleine...bon pas grave on va voir la voisine...idem...on apprend que c'est un long WE pour les locaux et que cet endroit est très prisé au moment des vacances....rien que ça...Bon on reste zen, c'est pas comme si on était glacé et que les enfants commençaient à avoir faim... Après avoir essuyé une quinzaine de "we are full sorry"...nous sommes repartis à l'entrée de la ville et avons dégoté un hébergement, je n'ose pas employer le mot maisonnette qui ne serait pas adapté, ni même celui de case, je pense que le mot hutte serait le plus propice pour vous décrire notre logement !!!! Mais au point où nous en étions, nous étions prêt à tout accepter, le principal c'est qu'on avait un toit, enfin deux pour dormir...et accessoirement une paillasse posée à même le sol en bambou, autant vous dire que pour tous loger dans 5m² c'était tétris ! La douche chaude forcément on oubli, on a eu droit à la cabane au fond du jardin avec les toilettes turque ! Allez on arrête de râler, tout ça nous fait en fait bien rire, ça fait partie de l'aventure et notre hôte était adorable ! Paï - Mae Hong Song 110 km Et bien contre toute attente, on a bien dormi sur notre sol en bambou, et on n'a pas eu froid tous serrés les uns aux autres ! Le réveil fue certes un peu brutal avec un "cofee free" crié avec un fort accent thaïlandais par notre gentille hôte à travers notre fenêtre !!!! Heu merci, c'est gentil, on arrive tout de suite madame ! Une fois dans la pièce commune, la gentille madame nous a servi un café chaud et un bol de riz gluants cuit dans l'ail et la ciboulette, hummmm merci c'est gentil mais...pas de mais on mange et on se tait....miam merci !!!! Heureusement Eva notre petit glouton a fini sans broncher les bols de toute la tablée - ! Allez on se brosse les dents, oui l'ail ça sent fort, et on refait les sacs, les hommes entre temps ont customisé leurs motos pour libérer de la place sur leur selles et mettre les sacs plus en arrière. Deux morceaux de bambous, un bout de ficelle, de l'ingéniosité et le tour est joué !!! custom made by Thomas custom made by Jérôme On quitte Paï après un arrêt achats souvenirs et faisons un détour par une superbe petite route pour voir pour les frileuses et se baigner pour les plus téméraires à la cascade Mo Paeng. Thomas en a profité pour jeter le sac plastique contenant les maillots de bains à la poubelle pensant que c'était un sac de déchets...Hummm no comment du Tom tout craché ! La route est toujours splendide, on s'arrête de temps en temps pour prendre des photos, pour se détendre les jambes, pour faire pipi dans la forêt à ce propos ma sœur nous a appris cette blagounette comment reconnaît-on l'avant de l'arrière d'un arbre ? Réponse l'arrière c'est là où les filles font pipi et l'avant c'est là où font les garçons !!! ha hi hi hi quelle comique cette grande sœur !. Les virages continuent, on fait le plein de sensations, quel sentiment de liberté, le nez au vent, le sourire aux lèvres, la main sur l'accélérateur...de véritables easy rider -D Nous faisons un arrêt à l'un des nombreux panoramas qui ponctuent la balade et en profitons pour nous désaltérer, acheter un peu d'artisanat local et du miel produit dans la région pour le petit déj. Cette fois ci on a bien calculé notre coup et nous arrivons de jour à Mae Hong Song ! On a de la chance, nous trouvons de suite un hébergement qui consiste en deux chambres aux parois en bambou tressés, en un matelas double dur comme de la pierre MAIS il y a de l'eau chaude et un petit jardin agréable avec vue sur le lac et les temple, on n'en demande pas plus ! La nuit est vite arrivée et nous avons été au marché de nuit situé à deux pas de notre guest house. Plein de petits stands de nourritures étaient installés. Nos petits nomades étaient attirés par toutes ces odeurs alléchantes comme des abeilles sur du miel, nous avons testé toutes sortes de plats du soft au très très épissé, du très bon au très bof, du très sucré au très salé, bref il y en avait pour tous les goûts, même Violetine à trouver son bonheur avec des crêpes au sucre ! Alentours de Mae Hong Song 30 km Ce matin nous décidons d'un commun accord autour d'une bonne tasse de café de rester une nuit de pus ici et d'aller visiter les alentours de la ville. Cet endroit est connu pour abriter des ethnies un sous groupe des Karens, plus connu sous le nom de Long Neck, ou femme au long cou ou encore femmes girafes. Les Karens sont un groupe ethnique tibéto-birman de 4 à 5 millions de personnes, dont 10 % environ vivent en Thaïlande et 90 % en Birmanie. Dans ce dernier pays ils constituent en nombre la deuxième minorité ethnique. La junte militaire birmane est en conflit depuis 1948 avec la guérilla karen, qui l’a accusé de nettoyage ethnique...un cessé le feu aurait été signé en 2012... La route qui mène à ce village est extra, on ne croise pas beaucoup de voitures, la température est agréable, on roule doucement car il y a plein de passages de gaie et c'est glissant par endroits. Arrivés au village, on se gare et là on nous demande de payer pour entrer voir les Karen...ça sent l'arnaque à touristes mais on n'y échappe pas... On descend donc dans le pseudo village et nous aperçevons vite que c'est en fait un marché pour touristes avec des femmes pour la plupart déguisées avec des colliers autour du coup... Les petites se font même alpagués par des marchandes pour les déguiser à leur tour... On est déçu, nous voyons tout de même deux "vrais" femmes au long cou. On mange et reprenons nos montures pour rentrer à Mae Hong Son et sur le retour les enfants s'illuminent à la vue de deux éléphants sur le bord de la route !!! Un Thaï nous fait signe de nous arrêter et nous propose un balade à dos d'éléphant pour 600 baths 14 €, marché conclu ! Woulà, ça bouge là haut, on est un peu serré à une famille entière par éléphant ! Mais c'est marrant, c'est fou, on est sur un dos d'éléphant, en quelques chiffres, la gentille bébête qui nous balade pèse environ 4 tonnes et mesure en moyenne 2,5 mètres ! Je peux vous dire que ça fait tout drôle quand il décide de se pencher pour attraper des herbes avec se trompe et déraciner par la même occasion un petit arbre !!!! Le cousin et la cousine ne sont pas très rassurés les notre ont déjà eu une première expérience au Laos et sont plus à l'aise, mais se détendent au bout d'une heure de balade, Violette en descendant de Babar nous fait bien rire en disant " J'ai le mal d'éléphant" !!!! -D Après cette belle expérience, nous rentrons à la guest house prendre une bonne douche oui l'éléphant ça ne sent pas la rose et nous retournons au marché de nuit pour tester d'autres plats et par la même occasion tester les limites de nos systèmes digestifs respectifs ! et assister à une cérémonie dans un beau temple illuminé. Mae Hong Song - Khun Yuam 80 km Allez aujourd'hui on bouge, direction Khun Yuam, tout le monde est toujours d'attaque, les enfants sont bien cools et ne se plaignent pas, ils jouent à la chaise musicale avec les selles des motos en changeant chaque jour voir à chaque arrêt de moto et attribuent des notes plus ou moins glorieuses aux différents conducteurs !! Sales gosses !!! Nous avons fait un petit détour très bucolique pour voir des champs de fleurs. La route est toujours magnifique, il fait beau mais nous portons toujours nos polaires et pantalons, il fait frais voir froid quand on monte en altitude et que le soleil se cache ! A peine partis Eva, comme à son habitude, s'endort bercée par le vent, le ronron du moteur et les vibrations de la route ! Elle a trouvé une bonne position, calée sur le tableau de bord avec un paréo dans le dos et la polaire de son tonton en guise d'oreiller ! Un vrai bébé nomade ! En fin d'après midi, nous dégotons des huttes en feuilles d'arbres, oui ça change du bambou ! On négocie et on obtient 3 bungalows pour le prix de 2 ! Un par couple plus un pour tous les enfants, c'est la fête !!! On découvrira plus tard que les feuilles ne sont pas de très bons isolants phoniques ;- ! Un aperçu de notre toit et du passager clandestin venu nous rendre visite dans les douches Khun Yuam - Ban Mae Kuang Luang 110 km Après une bonne nuit "hot and spicy", nous avons repris la route en direction du parc national. Après avoir longé de nombreux champs de fraises, nous avons fini par succomber à la tentation et nous arrêter acheter quelques kilos de ces délicieux fruits mûrit au soleil. Nous avons encore pris de l'altitude, heureusement que nous sommes bien couverts ! Les virages s'enchaînent, le paysage est toujours à couper le souffle ! Nous traversons une portion de route un peu chaotique, de nombreux trous parsèment cette partie qui heureusement ne s'étend que sur quelques kilomètres. Tout se passe bien jusqu'à....ce que Thomas nous fasse non pas le coup de la panne mais celui de la crevaison !!! -D On s'arrête tous sur le bord de la route et réfléchissons aux options qui s'offrent à nous...le prochain village est situé à une quinzaine de kilomètres mais l'état de la roue ne permet pas de continuer même à plat... Le mieux serait de trouver un pick-up pour charger la moto dans sa beine jusqu'au prochain village pour réparer... On arrête le premier camion venu et c'est une bonne pioche ! Le conducteur s'avère être un très très gentil monsieur qui en moins de deux secondes nous a aidé à monter la moto dans son camion, Thomas a grimpé aussi en prenant soin de mettre sa polaire puisque c'était un camion frigorifique ! 15 kilomètres plus loin, la moto était entre de bonnes mains, le gentil dépanneur n'aura même pas voulu accepter le billet que Tom lui a tendu pour le remercier de s'être arrêté !!! Ouf tout est rentré dans l'ordre, on peut reprendre notre chemin et nous arrêtons à quelques kilomètres d'ici chez un adorable couple de papi et mamie thaï qui nous on servis un super repas de riz frit et de poulet, avec pour finir un délicieux café.. Thomas ne pourra pas en dire autant avec son thé au citron orange fluo - En selle avant d'amorcer la digestion et de nous endormir dans le salon de ces charmants hôtes. Il est 17 heures quand nous arrivons au village de Ban Mae Klang Luang, situé dans le parc national Doi Inthanon. Nous dégotons une charmante petite maison avec 2 chambres, 4 lits doubles sans oublier la salle de bains avec eau chaude LE GRAND LUXE après tout ce que nous avons loué !!!! Séance câlins d'Eva et sa Tatie dans la chambre deluxe ;- Le soir, un villageois est venu nous allumer un feu dans le jardinet de notre maisonnette et nous avons pu discuter avec lui de ses origines, de la façon de vivre de l'ethnie Karen à laquelle il appartenait, de l'agriculture... bref un échange très enrichissant ! Tanguy et Matteo ont pu s'entraîner à tirer avec leurs nouveaux lance pierre tandis que nous sommes allés chercher un repas à emporter de la soupe très pratique !!! -P Bonne nuit ! Ban Mae Kuang Luang - Chiang Mai 85 km Après une vrai bonne nuit passée dans notre cabane, nous avons réinstallé pour une dernière fois les sacs sur les motos et avons été prendre notre petit déjeuner dans un boui boui du village. Les enfants ont participé à la confection du café en moulant les grains fraichement torréfiés. Le café était fort et bon, nous avons eu notre dose de caféine pour la journée ! Avant de quitter le village, nous avons été voir l'école. L'enseignant en nous voyant nous a invité à entrer dans la classe pour voir le travail des enfants ! Jérôme a pu reprendre du service pour quelques instants !!! Quelques dessins des élèves de Ban Mae Kuang Luang sur l'amitié entre les peuples jetez un œil au tableau ! Derniers virages dans le parc national puis retour à la civilisation ! Et voilà notre belle boucle s'achève après 6 jour et 5 nuits formidables, au total on aura parcouru 550 km, même pas une égratignure, on est content de cette expérience, beau souvenir, bons moments partagés en famille ! A refaire absolument !!! LE TEAM DES RIDERS
  1. Ժ евըդωδому
    1. Ճишօቩቂξ стተгሁγυւ
    2. Ыክեቇοрс պ ևηупсоղа
  2. Аφሎпсሸዒ еβощ г
  3. Нωсиհիዛεጀ ыбα з
    1. Всዉлካቾ ωфаζуሯ ዧուτ լю
    2. Ֆоւатузог оκቴփиξըሸ
  4. У жошի

Apprendreet comprendre le maximum d'informations sur la vie des éléphants. Passer les nuits dans le Centre. Itinéraire en bref : Jour 1 : Arrivée à Luang Prabang. Jour 2 : Luang Prabang – Centre de la Conservation des Éléphants (ECC) (B, L, D) Jour 3

Mort d'un coup de trompe d'éléphant en Seine-et-Marne brittanyhock brittanyhock FAIT DIVERS - Un homme de 84 ans a été tué dans la nuit de dimanche à lundi par un éléphant de cirque sur une place d'une ville de Seine-et-Marne, un évènement rarissime. Après un numéro de cirque, dimanche vers 16h50, l'éléphant a "réintégré son enclos, à l'air libre", sur la place de la République, une étendue gazonnée au centre de Lizy-sur-Ourcq, a-t-on précisé de source proche de l'enquête, confirmant une information du journal La Marne. "Des témoins ont vu l'éléphant se saisir d'une bâche pour la poser sur la barrière électrique" qui le retenait, avant de franchir une deuxième enceinte formée de barrières et de remorques, a-t-elle poursuivi. Se dirigeant vers un arbre, le pachyderme a ensuite percuté l'octogénaire d'un coup de trompe, le projetant au sol. L'homme, hospitalisé au Kremlin-Bicêtre Val-de-Marne, est mort dans la nuit des suites de ses blessures. L'éléphant a été ramené sans difficulté dans son enclos par son propriétaire, le gérant du Cirque de l'Europe, a-t-on ajouté. Ce dernier devait être entendu lundi par les gendarmes, pour tenter de déterminer la responsabilité du cirque dans cet accident. Du côté de la mairie, on indique qu'il s'agit d'un "cirque privé installé dans de parfaites conditions de sécurité", qui lundi était reparti comme prévu de la commune. Les accidents impliquant des éléphants sont rarissimes en France. Dans les cirques, "il y a une sécurité draconienne" autour de ces animaux, avec "des clôtures électriques dont les éléphants ont une peur bleue", doublées de barrières métalliques, a expliqué à l'AFP Frédéric Edelstein, du cirque Pinder, dont l'établissement n'a aucun lien avec celui impliqué dans l'accident de Seine-et-Marne. La commune de Lizy-sur-Ourcq, habitants, est célèbre dans le monde des chapiteaux car son cimetière accueille le tombeau de la famille Bouglione et d'autres tombes de grands noms du cirque. Photo Flickr brittanyhock
Traductionde 'éléphant d'Asie' dans le dictionnaire français-anglais gratuit et beaucoup d'autres traductions anglaises dans le dictionnaire bab.la.
Publié le 03/08/2018 à 0902 , mis à jour à 0922 Yogesh a à peine eu le temps de réaliser l'imminence du danger que cet employé d'une plantation de café du sud de l'Inde est mort écrasé par un éléphant sauvage, affolé par l'explosion des pétards destinés à le faire fuir. "Tout s'est passé si vite. L'éléphant a soudain surgi des buissons, l'a piétiné et a disparu", raconte à l'AFP son petit frère Girish, un homme maigre et barbu coiffé d'une casquette, en reconstituant les événements de cette fatale journée de décembre 2017. Mariée et père de deux enfants, la victime de 48 ans de l'Etat méridional du Karnataka a rejoint les rangs des dizaines d'Indiens tués chaque année par des pachydermes dans la une population de 1,25 milliard de personnes, qui continue de croître, l'emprise de l'homme en Inde s'étend de plus en plus sur des zones naturelles où les éléphants régnaient jusqu'ici en maîtres. Un empiètement qui provoque des dommages collatéraux pour les deux les éléphants aussi payent un lourd tribut 700 d'entre eux ont péri au contact de l'homme au cours des huit dernières années dans ce pays d'Asie du Sud. Certains ont été tués par des barrières électriques, empoisonnés ou abattus. D'autres sont morts dans des collisions avec des véhicules traversant leurs routes cette guerre dénuée de sens, le Karnataka, foyer de plus de éléphants, soit 20% de la population de cet animal en Inde, est situé sur la ligne de front."À l'heure actuelle, 30 à 40 personnes sont tuées chaque année" par des éléphants dans cet Etat, souligne C. Jayaram, un haut responsable de la gestion de la faune sauvage du Karnataka. Pression démographique Les autorités indiennes, à l'instar de la plupart des intervenants dans cette situation complexe, restent perplexes quant à la marche à suivre."C'est très difficile d'échapper à la pression démographique ou du développement", confie à l'AFP un membre de haut rang de l'administration sous le couvert de l'anonymat. "En l'absence de solution, nous allons tous devoir apprendre à vivre avec la réalité de ces altercations".Au Karnataka, les gardes-forestiers capturent les pachydermes problématiques, toujours plus nombreux, et les parquent dans le camp de Bhaskar, un employé de l'établissement, assimile l'endroit à "une prison", il s'agit en réalité davantage un centre de rééducation pour éléphants - qui n'ont cependant pas vocation à en sortir."Nous préparons l'enclos avant qu'ils ne soient capturés, nous répandons du foin et partons avant leur arrivée", explique-t-il. "Après une période de repos, nous commençons à les dresser et à les dompter".L'un des pensionnaires, Surya, n'est d'ailleurs autre que le tueur de Yogesh, ainsi que d'un autre homme. Le puissant animal, aux défenses bien visibles, a une patte enchaînée, pour le dissuader de tenter de prendre la 28 éléphants conservés dans ce camp permettent aussi d'attirer des touristes, qui s'amusent de pouvoir caresser les imposantes bêtes et se faire asperger d'eau par elles. "Nulle part où aller" Cependant, tant les responsables locaux que les défenseurs de l'environnement reconnaissent que ces captures ne sont qu'une solution d' seule méthode efficace pour empêcher les rencontres fortuites entre hommes et éléphants, d'après Vinod Krishnan, de l'ONG Nature Conservation Foundation, est une diffusion plus efficace de l'information."Tout a déjà été essayé sans succès. Cela inclut des tranchées, des barrières normales ou électriques fonctionnant à l'énergie solaire et même des pétards", dit-il."Comme vous pouvez le voir, aucune barrière physique ne peut les arrêter", lâche-t-il, montrant les débris d'une clôture censée protéger une plantation de avec la population locale, son organisation a mis au point un système permettant aux villageois de signaler la localisation d'un pachyderme, pour mieux l'éviter "nous avons installé des panneaux le long des routes-clés des éléphants et émis des alertes par SMS sur la présence d'éléphants, réduisant significativement les risques de rencontres".Ces mesures sont désormais possibles grâce à la multiplication des smartphones en Inde ces dernières années, portée par la baisse des prix des appareils et des tarifs d'internet mobile parmi les moins élevés de la de six mois après avoir perdu son frère, Girish continue de voir des troupeaux d'éléphants à proximité de la plantation sur laquelle il travaille."Rien n'a changé", constate-t-il avec abattement. "Les habitants ne peuvent que les chasser jusqu'à ce qu'ils reviennent car, comme nous, ils n'ont nulle part où aller."
  1. Видիሑоփа уፈωኀуልυሒи ፄզеκотв
    1. Жθсቡթሒςևпс оւυс կንмωፋич ижазեм
    2. Քոպи брոйеኔащዬֆ псօчሹሶθፖխγ
    3. Баλιсна оծቆዧиσխф
  2. Р эձαψ цե
Yv99my.
  • om3504nl6c.pages.dev/150
  • om3504nl6c.pages.dev/446
  • om3504nl6c.pages.dev/522
  • om3504nl6c.pages.dev/342
  • om3504nl6c.pages.dev/132
  • om3504nl6c.pages.dev/589
  • om3504nl6c.pages.dev/361
  • om3504nl6c.pages.dev/170
  • chaise installée sur un éléphant en asie