Lesgrains de café récoltés dans les excréments des civettes asiatiques valent une fortune à travers le monde. Sauf que les civettes en question sont en cage et sont maltraitées.
SantĂ©CafĂ© Consommer du cafĂ© pourrait aider Ă  rĂ©duire les risques de diabĂšte de type 2, selon une Ă©tude menĂ©e par des chercheurs chinois. © Boire du cafĂ© pour rĂ©duire le risque de diabĂšteDes chercheurs de l'UniversitĂ© Huazhong des Sciences et Technologies, en Chine, ont menĂ© une Ă©tude sur le pouvoir du cafĂ© contre les risques de dĂ©velopper un diabĂšte de type 2. Cette pathologie particuliĂšrement rĂ©currente survient gĂ©nĂ©ralement Ă  partir de 40 ans, lorsque le corps ne produit plus suffisamment d'insuline, entrainant un excĂšs de sucre dans le sang. Selon les scientifiques, des extraits de cafĂ© pourrait ainsi permettre de conserver les cellules productrices d’insuline en bloquant l’accumulation d’une protĂ©ine destructrice connue pour dĂ©clencher le nouvelle Ă©tude a d’ores et dĂ©jĂ  fait l’objet d’une publication dans le Journal of Agricultural and Food Chemistry. Au total, trois composĂ©s contenus dans la boisson ont Ă©tĂ© identifiĂ©s la cafĂ©ine, l'acide cafĂ©ique et l'acide chlorogĂ©nique. "Ces trois Ă©lĂ©ments contenus dans le cafĂ© ont la capacitĂ© d’inverser le processus toxique et peuvent expliquer pourquoi la consommation de cafĂ© est associĂ©e Ă  un risque moindre de diabĂšte de type 2", explique au Dailymail Huang Kun, directeur de l’équipe de recherche. Selon lui, cette nouvelle dĂ©couverte pourrait mener vers la synthĂšse de traitements plus les trois substances ont abouti Ă  des rĂ©sultats positifs lors de tests effectuĂ©s en laboratoire. La cafĂ©ine demeure toutefois la moins efficace des trois. De ce fait, les scientifiques recommandent particuliĂšrement la consommation de cafĂ© dĂ©cafĂ©inĂ©. "Dans cette boisson les pourcentages en acide cafĂ©ique et acide chlorogĂ©nique sont encore plus Ă©levĂ©s alors que le niveau de cafĂ©ine est considĂ©rablement rĂ©duit", souligne Huang effet contestĂ© Cette nouvelle dĂ©couverte a toutefois Ă©tĂ© reçue avec un enthousiasme mitigĂ© auprĂšs de la communautĂ© scientifique. Joe Vinson, professeur Ă  l’UniversitĂ© de Scranton, en Pennsylvanie, pointe le fait que les travaux menĂ©s par ses collĂšgues de Chine utilisent des concentrations de ces composĂ©s bien plus Ă©levĂ©es que celles qu’on trouve normalement dans un cafĂ© typique. NĂ©anmoins, le diabĂšte touche actuellement de plus en plus de personnes. En septembre 2011, l’Organisation mondiale de la SantĂ© OMS recensait plus de 346 millions de personnes atteintes dans le monde. Les projections Ă©tablies par l’organisme prĂ©voient en outre que la pathologie devienne la septiĂšme principale cause de dĂ©cĂšs Ă  l’échelle mondiale d’ici 2030. La dĂ©couverte des chercheurs chinois pourraient ainsi donner une piste potentielle pour enrayer le phĂ©nomĂšne. Surtoutpas !”, mais si vous commencez Ă  vous intĂ©resser au jeĂ»ne, vous avez dĂ» lire et entendre Ă  divers endroits que l’ on pouvait boire du thĂ© ou du cafĂ© lors du jeĂ»ne. Alors cafĂ© et jeĂ»ne ? C’est la vidĂ©o de la semaine que vous pouvez voir ici 👈👈👈.
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Une question de modĂ©ration Par Charlotte Arce Boire du cafĂ© n’est pas mauvais pour la santĂ© et pourrait mĂȘme allonger l’espĂ©rance de vie. À une condition ne pas en consommer plus de cinq tasses par jour. a_crotty/iStock PubliĂ© le Ă  14h50 Bonne nouvelle pour les amateurs de petit noir au coin du zinc, de bol de cafĂ© le matin ou d’expresso serrĂ© boire du cafĂ© n’est pas si mauvais qu’on l’a longtemps pensĂ©. Mieux cette consommation est associĂ©e Ă  rĂ©duction de la mortalitĂ© et Ă  un allongement jusqu’à deux annĂ©es de l’espĂ©rance de vie, Ă  condition de ne pas en abuser. Une diminution du risque de dĂ©cĂšs Telle est la conclusion d’une rĂ©cente Ă©tude publiĂ©e dans The European Journal of Epidemiology. MenĂ©e par des chercheurs de la Kyung Hee University de Seoul, en CorĂ©e du Sud, et par le DĂ©partement de Nutrition et d’ÉpidĂ©miologie de la Harvard TH Chan School of Public Health Ă  Boston, elle se base sur 40 prĂ©cĂ©dentes Ă©tudes portant sur le lien entre mortalitĂ© et consommation de cafĂ©. Au total, les donnĂ©es de 4 millions de participants ont Ă©tĂ© passĂ©es au crible. Les auteurs de l’étude en ont conclu que consommer deux Ă  quatre tasses de cafĂ© – mĂȘme dĂ©cafĂ©inĂ© - par jour Ă©tait associĂ© Ă  un risque rĂ©duit de mortalitĂ© par rapport aux personnes ne buvant pas de cafĂ©. Dans le dĂ©tail, une consommation modĂ©rĂ©e de cafĂ© rĂ©duit de 17% les risques de dĂ©cĂšs de maladies cardiaques, de 24% le risque de dĂ©cĂšs liĂ©s au diabĂšte et de 4% celui dĂ» au cancer. Cette conclusion rejoint celle d’une prĂ©cĂ©dente mĂ©ta-analyse, rĂ©alisĂ©e en 2017 par des chercheurs de l’UniversitĂ© d’Édimbourg et publiĂ©e dans le BMJ. Ils y affirmaient que boire trois Ă  quatre tasses quotidiennes de cafĂ© rĂ©duisait le risque de dĂ©cĂšs et de maladies cardiaques. Selon eux, cette consommation raisonnable est aussi associĂ©e Ă  un risque plus faible de certains cancers, de diabĂšte, de maladies du foie et de dĂ©mence. Les chercheurs en vantent mĂȘme les bienfaits face Ă  la maladie de Parkinson, la dĂ©pression et la maladie d'Alzheimer. Une consommation modĂ©rĂ©e Attention, toutefois, Ă  ne pas excĂ©der cinq tasses de cafĂ© par jour. Dans une autre Ă©tude, cette fois-ci rĂ©alisĂ©e par la South Australia University et publiĂ©e dĂ©but mars dans The American Journal of Clinical Nutrition, des chercheurs ont Ă©tudiĂ© les donnĂ©es de 347 077 personnes ĂągĂ©es de 37 Ă  73 ans et en ont conclu que boire plus de cinq cafĂ©s par jour accroĂźt de 22% le risque de maladie cardiovasculaire. En cause l’excĂšs de cafĂ©ine, qui favorise l’hypertension artĂ©rielle. "Afin de maintenir un rythme cardiaque et une tension artĂ©rielle sains, les gens doivent limiter leur cafĂ© Ă  moins de six tasses par jour. Selon nos donnĂ©es, le point critique a Ă©tĂ© le point de basculement oĂč la cafĂ©ine a commencĂ© Ă  avoir un effet nĂ©gatif sur le risque cardiovasculaire", explique la Pre Elina Hyppönen, co-auteure des travaux. Dans un rapport, l’Agence europĂ©enne pour la sĂ©curitĂ© des aliments EFSA conseille aux adultes en bonne santĂ© de ne pas dĂ©passer la consommation de 400 mg de cafĂ©ine par jour, tout au long de la journĂ©e, soit environ trois tasses de cafĂ©. Chez les femmes enceintes et allaitantes, cet apport de cafĂ©ine ne doit pas excĂ©der 200 mg par jour.

9 - La pilule contraceptive, et les hormones, modifient la composition du sang. Le risque augmente Ă  partir de l’ñge de 40 ans. 10° - Le traitement du cancer par mĂ©dicaments (chimiothĂ©rapie) ou par hormones (hormonothĂ©rapie) peut modifier la composition du sang. La maladie elle-mĂȘme peut changer la composition du sang.
Depuis l’enfance, les mĂ©dias, les publicitĂ©s et mĂȘme les organismes de santĂ© nous rĂ©pĂštent qu’il faut boire du lait pour ĂȘtre en bonne santĂ©. Mais ce que l’on ne nous dit pas, c’est que le lait n’est pas la seule source de calcium disponible, ni mĂȘme la meilleure. Il est temps de rĂ©tablir la vĂ©ritĂ© sur le lait de vache. Les bienfaits du lait de vache entre mensonges et propagande Qui n’a jamais entendu ces publicitĂ©s vanter les bienfaits du lait sur la santĂ©, allant mĂȘme jusqu’à qualifier les produits laitiers comme Ă©tant nos amis pour la vie » ? L’industrie du lait en France reprĂ©sente environ 30 milliards d’euros de chiffre d’affaires en France et plus de 250 000 emplois Source FiliĂšre laitiĂšre. Autant dire qu’il s’agit lĂ  d’un vĂ©ritable mastodonte de l’économie française. Contexte et analyse Vous avez peut-ĂȘtre dĂ©jĂ  entendu cette expression mise en exergue par de nombreuses personnes, comme quoi l’homme est le seul ĂȘtre vivant Ă  boire du lait d’une autre espĂšce ». Cette vision des choses nous paraĂźt rĂ©ductrice et hors de propos. Il convient, avant de faire un raccourci trop simpliste, d’éclaircir les choses. En effet, les hommes boivent du lait de vache depuis plusieurs millĂ©naires et il s’agit trĂšs souvent d’un aliment de base de l’alimentation europĂ©enne. Alors pourquoi ces habitudes devraient-elles changer d’un coup ? S’agit-il simplement d’un effet de mode ? Ou bien est-ce que le lait que l’on consomme dĂ©sormais n’est plus le mĂȘme qu’il y a plusieurs dĂ©cennies ? Le lait rĂŽle originel et composition Le fait est qu’à l’origine, le lait est une alimentation exclusivement destinĂ©e aux nouveau-nĂ©s. Le lait maternel humain se destine donc aux nourrissons, tandis que le lait de vache est censĂ© nourrir les veaux. C’est en tous les cas l’aliment complet que la nature a prĂ©vu pour nourrir les petits et les aider Ă  se dĂ©velopper. Il contient donc tous les nutriments essentiels et nĂ©cessaires Ă  la croissance des petits protĂ©ines, graisses, sucres, sels minĂ©raux, vitamines et eau. Chaque espĂšce produit un lait spĂ©cifiquement adaptĂ© aux besoins et Ă  la physionomie des petits Ă  qui il se destine. Par consĂ©quent, les compositions du lait maternel et du lait de vache ne sont pas les mĂȘmes. Le lait de vache contient des protĂ©ines, dont les principales sont la casĂ©ine, la lactoglobuline et la lactalbumine. Ces deux derniĂšres protĂ©ines composent le lactosĂ©rum, ce qui n’est pas le cas de casĂ©ine. Nous parvenons pour la plupart d’entre nous Ă  digĂ©rer ces protĂ©ines. Toutefois, il existe un risque d’allergie alimentaire, notamment chez les enfants. Cette allergie se manifeste alors durant le plus jeune Ăąge les tout premiers mois de la vie. Pour cette raison, le lait est considĂ©rĂ© comme un allergĂšne dont l’introduction au sein de l’alimentation du jeune enfant doit faire l’objet d’un test et d’un protocole spĂ©cifique. C’est au lactose, un sucre naturellement prĂ©sent dans le lait, que l’on doit la digestion difficile du lait par certains adultes. Les graisses prĂ©sentes dans le lait sont multiples et se retrouvent dans les produits dĂ©rivĂ©s comme le beurre et la crĂšme. Elles ne prĂ©sentent pas de problĂšme particulier. Consommation humaine de laits d’origine animale Les traces les plus anciennes de la consommation de laits d’origine animale par les ĂȘtres humains remontent Ă  prĂšs de 6 000 ans. Une protĂ©ine de lait bĂȘta lactĂ©-globuline a Ă©tĂ© retrouvĂ©e sur la plaque dentaire d’ĂȘtre humain vivant Ă  cette pĂ©riode. C’est entre 4 000 et 2 400 av. que l’on assiste Ă  l’avĂšnement des animaux domestiques et des fermes en Grande-Bretagne. Les premiĂšres consommations de laits animaux semblent donc remonter Ă  cette Ă©poque. Voire peut-ĂȘtre plus loin encore, si d’autres dĂ©couvertes scientifiques venaient faire suite Ă  celle-ci. Depuis, notre rapport aux laits animaux et notre consommation de ces produits n’ont cessĂ© d’évoluer. Notre corps, aussi, semble y ĂȘtre plus ou moins adaptĂ©. Aujourd’hui, le dĂ©bat concerne l’industrialisation de la production laitiĂšre, notamment avec les fermes usines qui tendent Ă  se dĂ©mocratiser. La surproduction laitiĂšre pose aussi un problĂšme d’ordre Ă©thique et environnemental. Et ce, en partie parce que cette industrie, comme celle de la viande, est trĂšs polluante. Mais pas seulement. Les normes alimentaires Ă©voluent, la production, l’industrie
 Ces facteurs ont fait Ă©voluer la composition nutritionnelle du lait. D’ailleurs, le lait fraĂźchement extrait n’a pas la mĂȘme composition que celui que l’on retrouve dans les briques de lait du supermarchĂ©. On trouve mĂȘme des laits pauvres en lactose, spĂ©cifiquement dĂ©diĂ©s aux intolĂ©rants. Lactase et facteur de croissance Chacun de nous a un rapport diffĂ©rent au lait animal. Et ce, en raison de la quantitĂ© de lactase que nous produisons et qui nous permet de digĂ©rer le lait. Chaque ĂȘtre humain en produit une quantitĂ© variable qui dĂ©finit la quantitĂ© de lactose qu’il est capable de digĂ©rer sans ressentir d’inconfort. Les nourrissons en produisent une quantitĂ© considĂ©rable afin de rĂ©pondre Ă  leur besoin de digestion le lait maternel contient plus de lactose que le lait de vache. Les adultes en produisent beaucoup moins, voire pratiquement pas pour certain. C’est pour cette raison que nous ne sommes pas tous concernĂ©s par l’intolĂ©rance au lactose. Certains le consomment en grande quantitĂ© sans problĂšme, tandis que d’autres doivent l’éviter pour ne pas souffrir d’effets indĂ©sirables. La science n’est parvenue que trĂšs tard Ă  expliquer l’intolĂ©rance au lactose. Avant cela, les ĂȘtres humains se sont aperçus que les personnes qui digĂ©raient mal le lait digĂ©raient Ă  l’inverse plutĂŽt bien le beurre, les yaourts et le fromage. Cela est liĂ© au fait que ces aliments dĂ©rivĂ©s ne contiennent plus de lactose, ou seulement Ă  l’état de traces. L’intolĂ©rance n’a donc jamais Ă©tĂ© une allergie, mais elle dĂ©coule d’une Ă©volution physiologique des intestins. Elle n’est pas non plus une maladie les spĂ©cialistes parlent plutĂŽt d’une particularitĂ© anthropologique ». Une problĂ©matique Ă©conomique MalgrĂ© l’incessant matraquage publicitaire depuis de nombreuses annĂ©es, l’engouement pour le lait est retombĂ© auprĂšs des Français. Est-ce que cela est dĂ» Ă  des questions Ă©thiques traitement des animaux, Ă  une question de santĂ© ou bien Ă  un changement d’alimentation ? Toujours est-il que sa consommation est en recul rĂ©gulier. Et justement, les Français sont plus attentifs aux contenus de leurs repas et aux aliments qu’ils choisissent de manger. Nous comprenons donc mieux tout l’enjeu Ă©conomique dont il est question. Pour autant, notre corps a-t-il besoin de consommer autant de produits laitiers ? La rĂ©ponse est probablement non. Loin de nous l’idĂ©e de nuire aux agriculteurs ou aux commerçants qui vivent de cette industrie. Pourtant il est nĂ©cessaire pour le bien et la santĂ© de tous de chercher Ă  en savoir davantage sur ce sujet et d’informer. Nous allons dĂ©couvrir pourquoi vous devriez arrĂȘter de boire du lait de vache avec l’énumĂ©ration des consĂ©quences de ce dernier sur la santĂ©, relevĂ©es grĂące aux diverses recherches menĂ©es sur le sujet. Le lait un aliment plus nĂ©faste que bĂ©nĂ©fique pour la santĂ© Selon Marion Kaplan, bionutritionniste spĂ©cialisĂ©e en mĂ©decines Ă©nergĂ©tiques et auteur d’une quinzaine d’ouvrages sur l’alimentation, la consommation de lait de vache ne serait pas indispensable pour ĂȘtre en bonne santĂ©, loin de lĂ . Selon elle, on nous fait croire que le lait est indispensable alors qu’on s’en est passĂ© pendant trĂšs longtemps. Cela ne fait que trois ou quatre gĂ©nĂ©rations que l’on consomme autant de lait ». Le lait contiendrait Ă©galement des pesticides cinq fois plus que les vĂ©gĂ©taux, des mĂ©taux lourds, mais Ă©galement des hormones de croissance liĂ©es aux pratiques des producteurs afin d’augmenter leurs rendements. On peut aussi y trouver des acides gras trans hydrogĂ©nation des acides gras insaturĂ©s. Ces derniers seraient nĂ©fastes et notamment associĂ©s Ă  une augmentation du risque de cancer du sein, de maladie coronarienne, sans oublier des effets pro-inflammatoires ! Pourquoi le lait de vache est-il mauvais pour la santĂ© ? IntĂ©ressons-nous dĂšs Ă  prĂ©sent aux risques qui entourent la consommation de lait et Ă  ses effets sur la santĂ© selon les diffĂ©rentes Ă©tudes rĂ©alisĂ©es. Contrairement Ă  ce que nous pourrions croire, les produits laitiers et le lait, plus particuliĂšrement ne sont pas bĂ©nĂ©fiques pour la santĂ©. Leur consommation peut avoir de lourdes consĂ©quences sur la santĂ©. Et ce, Ă  tous les Ăąges. Il est recommandĂ© de ne pas en abuser. 1/ Le lait de vache est indigeste Pour rappel, chaque mammifĂšre produit du lait en fonction des besoins de son bĂ©bĂ©. Le lait de vache est prĂ©vu pour rĂ©pondre aux besoins du veau. Or, les veaux n’ont pas les mĂȘmes besoins que les humains. Il contient des nutriments dont nous pouvons bien sĂ»r profiter, et d’autres qui ne nous sont pas vĂ©ritablement adaptĂ©s. Le lactose en fait partie. De mĂȘme, aucune autre espĂšce animale ne consomme de lait aprĂšs sevrage. Le lait de vache n’est ni nĂ©cessaire ni bĂ©nĂ©fique Ă  la santĂ© des ĂȘtres humains, en particulier Ă  l’ñge adulte. D’ailleurs, l’estomac humain ne contient pas la prĂ©sure des ruminants, qui permet de cailler le lait et la casĂ©ine qu’il contient. Le lactose et les graisses saturĂ©es prĂ©sents dans le lait ne permettent pas Ă  l’estomac humain de le digĂ©rer correctement. En effet, le lait est indigeste par sa teneur en graisses saturĂ©es, qui est considĂ©rable. On trouve autant de graisses saturĂ©es dans un verre de lait que dans trois tranches de lard. En outre, la casĂ©ine, une forme de protĂ©ine prĂ©sente dans le lait 1, se colle aux parois intestinales, obligeant le corps Ă  produire des anticorps en trĂšs grand nombre et gĂ©nĂ©rant de ce fait des inflammations. On estime Ă  75 % le nombre de personnes intolĂ©rantes au lactose, du fait de l’absence de l’enzyme lactase, indispensable Ă  la digestion du lactose, au sein de leur organisme. Il peut provoquer chez l’adulte des troubles de la flore intestinale, ainsi qu’une permĂ©abilitĂ© intestinale. À terme, le lait peut engendrer une toxi-infection gĂ©nĂ©rale avec des consĂ©quences particuliĂšres sur l’immunitĂ©. 2/ Le lait de vache est allergĂšne Le lait de vache entraĂźne des complications dans les intestins, ses molĂ©cules passant la barriĂšre intestinale sans ĂȘtre scindĂ©es. En effet, les protĂ©ines de lait de vache Ă©tant en quantitĂ©s trois fois plus importantes que dans le lait maternel, elles peuvent entraĂźner chez le nourrisson, chez l’enfant ainsi que chez l’adulte des allergies et des pathologies telles que de l’asthme, de l’eczĂ©ma, une fatigue aiguĂ«, des migraines, des bronchites, des rhinopharyngites, etc. 2. Le lait fait partie des aliments les plus allergĂšnes en particulier pour les plus jeunes 3. Les molĂ©cules de lait passent la barriĂšre intestinale sans ĂȘtre dĂ©gradĂ©es, ce qui implique une auto-intoxication pouvant avoir des consĂ©quences sur la santĂ© et notamment sur la concentration en fer de notre sang. Les protĂ©ines de lait sont aussi allergĂšnes pour un grand nombre de personnes 4. Leur digestion est complexe, en raison de l’absence d’élĂ©ment spĂ©cifique prĂ©sent dans l’estomac des ruminants. Le fait que le lait de vache soit adaptĂ© aux veaux et non aux humains entraĂźne un risque allergique Ă©levĂ©. Bon nombre de nourrissons nourris au lait de vache montrent des signes d’allergie et rĂ©agissent, parfois sĂ©vĂšrement, Ă  la consommation de ce lait animal. De mĂȘme, les mĂšres allaitantes qui consomment des produits laitiers peuvent aussi transmettre certaines molĂ©cules de lait de vache Ă  travers le lait maternel. Il existe un risque pour le nourrisson allaitĂ© allergique ou intolĂ©rant de souffrir de symptĂŽmes liĂ©s Ă  cette sensibilitĂ©. 3/ Le lait de vache gĂ©nĂšre du cholestĂ©rol Une consommation importante de lait ou de produits laitiers augmente la quantitĂ© de l’homocystĂ©ine plasmatique dans le sang. Cela a pour effet de favoriser la prĂ©sence et l’augmentation de mauvais cholestĂ©rol dans l’organisme. Le lait contient Ă©galement des acides gras trans comme Ă©voquĂ©s plus haut. Eux aussi sont Ă  l’origine du mauvais cholestĂ©rol. Les acides gras trans sont responsables de la plupart des maladies cardiovasculaires 5, mais Ă©galement de l’obĂ©sitĂ©. Comme nous le prĂ©cisions plus haut, le lait de vache contient une part trĂšs importante de graisses saturĂ©es, qui visent Ă  rĂ©pondre aux besoins de croissance des veaux. Pour prĂ©server notre santĂ© cardiovasculaire, nous devons surveiller notre consommation de graisses saturĂ©es et privilĂ©gier les bons acides gras ». Il s’agit des acides gras polyinsaturĂ©s et mono-insaturĂ©s. Le lait de vache contient quant Ă  lui des lipides saturĂ©s, qui peuvent favoriser ou aggraver certains problĂšmes de santĂ©. Parmi eux, on trouve bien sĂ»r les troubles cardiovasculaires. Nous pourrions ĂȘtre tentĂ©s de croire que les laitages pauvres en matiĂšres grasses, les fameux 0 % » sont bĂ©nĂ©fiques pour la santĂ©. Or, s’ils sont moins gras que les laitages normaux, ils conservent les mĂȘmes ingrĂ©dients et dĂ©savantages. De mĂȘme, ils prĂ©sentent les mĂȘmes risques pour la santĂ©. 4/ Le lait de vache contient des ingrĂ©dients nĂ©fastes Comme nous l’avons expliquĂ©, le lait de vache contient de la casĂ©ine. Cette substance agit comme une colle puissante, qui encrasse notre organisme. De plus, le lait de vache contient trois cents fois plus de casĂ©ine que le lait maternel ! Celle-ci serait responsable d’inflammations articulaires, notamment dans le cadre de l’arthrite rhumatoĂŻde. On sait aussi que le lait contient du lactose, qui est une forme de sucre difficile Ă  digĂ©rer. Il peut Ă  ce titre gĂ©nĂ©rer des troubles gastro-intestinaux et favoriser le diabĂšte 6. De mĂȘme, il contient trop de lipases, en particulier pour les nourrissons dont la sĂ©crĂ©tion pancrĂ©atique est inadaptĂ©e. Fait pour le veau, le lait de vache prĂ©sente une composition nutritionnelle spĂ©cifique Ă  cette espĂšce animale. Il n’est donc pas adaptĂ© Ă  l’homme, comme nous le prĂ©cisions plus haut. Il est susceptible de provoquer des perturbations du systĂšme endocrinien. Or, nous le savons, les perturbateurs endocriniens sont nĂ©fastes pour la santĂ©. En outre, ce lait animal est un facteur favorisant la fixation des mĂ©taux lourds, des solvants et des toxiques lipophiles dans l’organisme. Enfin, en raison des procĂ©dures d’élevage actuelles, le taux d’antibiotiques prĂ©sents dans le lait est cent fois plus Ă©levĂ© qu’il y a vingt-cinq ans. Les autoritĂ©s sanitaires ont simplement Ă©levĂ© les normes autorisĂ©es. Lorsqu’on boit du lait ou que l’on consomme des produits qui en contiennent, on ingĂšre des antibiotiques qui endommagent la flore intestinale et qui affaiblissent le systĂšme immunitaire 7. En somme, le lait contient des hormones de croissance, des pesticides, des herbicides, des antibiotiques, des xĂ©nohormones, des dioxines et de nombreux autres produits nĂ©fastes consommĂ©s par les vaches. Ces produits seraient d’ailleurs encore plus concentrĂ©s dans les yaourts et les fromages. 5/ Le mythe du calcium bon pour les os » contenu dans le lait de vache Bien que le lait de vache prĂ©sente un taux intĂ©ressant de calcium, des Ă©tudes scientifiques ont dĂ©montrĂ© qu’au lieu de renforcer les os, le lait de vache produit l’effet inverse. MalgrĂ© la prĂ©sence de calcium difficilement assimilable, la structure du lait de vache a des effets acidifiant et dĂ©salcalinisant sur le pH du corps humain et cette aciditĂ© va engendrer une dĂ©calcification des os et donc bien souvent des blessures. Plus on consomme de lait, et plus on augmente le risque de souffrir de l’ostĂ©oporose. Dans un autre article, nous avons rappelĂ© l’utilitĂ© de manger des aliments alcalins afin de rĂ©duire l’aciditĂ© dans l’organisme. Les fruits et lĂ©gumes en font partie. De ce fait, le lait de vache est une cause d’ostĂ©oporose, et un facteur aggravant de la maladie. Beaucoup de personnes pensent Ă  tort que l’ostĂ©oporose est une maladie liĂ©e Ă  un manque de calcium ou Ă  une carence. Or, cette maladie est provoquĂ©e par des phĂ©nomĂšnes pro-inflammatoires chroniques 8 provoquĂ©s notamment par les aliments que nous consommons. Le lait de vache est un produit pro-inflammatoire ! Pour prĂ©venir cette maladie, boire du lait de vache n’est clairement pas la solution 9. Il faut augmenter ses apports en potassium, en magnĂ©sium et en bore. L’ensemble de ces nutriments se retrouvent dans les vĂ©gĂ©taux et dans les alternatives au lait de vache. En outre, le lait de vache peut provoquer ou aggraver plusieurs autres maladies des os. Alors, non, les produits laitiers ne sont pas nos amis pour la vie. Ils peuvent mĂȘme nuire Ă  notre santĂ©, comme nous allons le voir dans le point suivant. À savoir qu’il peut aussi favoriser la polyarthrite, et les maladies dĂ©gĂ©nĂ©rescentes dĂ©calcification, ostĂ©oporose, arthrose, etc.. 6/ Le lait de vache est responsable de nombreuses maladies La liste des diffĂ©rentes maladies recensĂ©es pour lesquelles la consommation de lait de vache serait le principal responsable est longue. Cet aliment serait Ă  l’origine de plusieurs types de cancers prostate, pancrĂ©as, cĂŽlon, estomac, etc. En effet, il existe une corrĂ©lation entre la consommation de lait et le dĂ©veloppement de certains cancers. Il peut aussi provoquer des ulcĂšres, des allergies, de la fatigue chronique et du diabĂšte. Et ce n’est pas tout. Le lait serait l’un des aliments Ă  l’origine de la maladie de Crohn et de constipation. Il provoque de nombreux troubles gastro-intestinaux ballonnements, nausĂ©es, vomissements, ralentissement du transit, maux de ventre, coliques, etc., des intolĂ©rances et mĂȘme des allergies. Il peut mĂȘme favoriser les maladies respiratoires 10, oculaires et autres invasions microbiennes. Enfin, on sait aussi que parmi d’autres maladies, le lait provoque de l’arthrite rhumatoĂŻde et des rhumatismes. Il est Ă  noter que ce n’est pas les seules maladies que le lait peut provoquer ou aggraver. Et cette liste n’est pas exhaustive, puisqu’une relation entre la consommation de produits laitiers et les maladies auto-immunes a aussi Ă©tĂ© Ă©tablie. Le lait prĂ©sente un rapport lysine/arginine qui favorise l’athĂ©rogenĂšse prĂ©coce chez l’enfant. D’une façon gĂ©nĂ©rale, il est recommandĂ© de favoriser le lait maternel pour le nourrisson lorsque cela est possible, ou Ă  dĂ©faut, de consommer des produits laitiers biologiques, en particulier pour les enfants. Sachez qu’il existe d’autres sources de calcium que le lait il n’est en rien indispensable Ă  la santĂ©. En tant qu’aliment pro-inflammatoire, le lait favorise les maladies inflammatoires [chronique ou non] et peut aggraver certaines pathologies, Ă  l’image de l’ostĂ©oporose. Quelles alternatives au lait de vache ? Vous l’aurez compris, boire du lait de vache n’est pas aussi indispensable que cela. Mais si le lait de vache est mauvais pour la santĂ©, quelles sont les alternatives possibles ? Le lait maternel meilleur pour les nourrissons Le lait maternel, contrairement au lait de vache, contient des bactĂ©ries trĂšs utiles qui protĂšgent la paroi intestinale chez l’enfant en bas Ăąge, des enzymes, des acides gras et des protĂ©ines parfaitement adaptĂ©es qui vont aider au dĂ©veloppement de ce dernier. De plus, le lait maternel contient aussi des anticorps utiles et bĂ©nĂ©fiques au systĂšme immunitaire du bĂ©bĂ©, ce qui n’est pas le cas des prĂ©parations pour nourrisson 11. D’autre part, comme alternative au lait de vache pour les bĂ©bĂ©s, il existe Ă©galement d’autres laits comme le lait de chĂšvre en poudre, le lait de chamelle ainsi que d’autres laits en poudre d’origine vĂ©gĂ©tale 12. Si vous souhaitez Ă©viter de donner du lait de vache Ă  votre bĂ©bĂ© et que vous souhaitez savoir quels laits donner Ă  ce dernier, nous vous recommandons de demander conseil Ă  votre pĂ©diatre. De plus, il ne faut pas subitement changer de lait pour nourrisson une transition est nĂ©cessaire. Les laits vĂ©gĂ©taux ou boissons vĂ©gĂ©tales L’avantage des laits vĂ©gĂ©taux est qu’ils ne contiennent ni cholestĂ©rol ni lactose. Ils sont donc bien mieux assimilables par l’organisme que le lait de vache. Nombreuses sont les personnes Ă  avoir remplacĂ© le lait de vache par du lait de brebis qui contient du lactose, mais en plus faibles quantitĂ©s et qui est plus digestible. Mais aussi par diffĂ©rents laits vĂ©gĂ©taux. Ils contiennent nĂ©anmoins des quantitĂ©s plus faibles de protĂ©ines que vous pouvez nĂ©anmoins tout Ă  fait compenser en diversifiant votre alimentation. Si vous les sollicitez pour leur qualitĂ© nutritionnelle, pensez Ă  prendre des boissons enrichies » en calcium, par exemple 13. Le lait de soja Le lait de soja est riche en protĂ©ines d’origine vĂ©gĂ©tale. Également trĂšs digeste, il ne contient cependant pas de Vitamine D. PrivilĂ©giez un lait de soja bio et sans OGM et associez-y une source de vitamine D. depuis plusieurs annĂ©es, le soja est devenu un aliment trĂšs Ă  la mode, Ă©tant riche en protĂ©ines vĂ©gĂ©tales. Il permet aussi aux personnes ayant adoptĂ© un rĂ©gime vĂ©gĂ©talien de profiter d’une source naturelle de protĂ©ines. Le lait d’amande Riche en vitamine E, en fer et en magnĂ©sium, le lait d’amande est probablement le meilleur lait vĂ©gĂ©tal qui existe. Comparez les diffĂ©rentes marques et dans l’idĂ©al, rĂ©alisez vous-mĂȘme votre lait d’amande maison. C’est trĂšs simple Ă  faire ! Les laits d’amande se trouvant en vente dans les Ă©talages de la grande distribution ne contiennent la plupart du temps que trĂšs peu d’amandes, de l’ordre de 2 Ă  4 %. L’essentiel Ă©tant constituĂ© gĂ©nĂ©ralement d’eau Ă  plus de 90 %, de sucre, de stabilisants et d’émulsifiants. On note aussi chez la marque leader la prĂ©sence de l’algue marine Lithothamnium calcareum, une algue riche en minĂ©raux, dont fait partie le calcium. Le lait de noix Le lait de noix est extrĂȘmement riche en antioxydants et en acides gras essentiels. Il est Ă©galement bĂ©nĂ©fique pour le systĂšme nerveux, puisqu’il lui fait profiter des bienfaits des omĂ©ga 3. En effet, les olĂ©agineux sont connus pour leurs nombreux bienfaits et leur richesse en omĂ©ga 3. Cette boisson vĂ©gĂ©tale est donc une alternative sĂ»re et saine au lait de vache pour toute la famille. Le lait de coco TrĂšs riche en vitamines et minĂ©raux, le lait de coco prĂ©sente de nombreux bienfaits sur la santĂ©. Il a notamment l’avantage de renforcer les os et le systĂšme immunitaire. Il peut aussi protĂ©ger la peau et les cheveux. Attention, il ne faut pas confondre le lait de coco avec l’eau de coco. Ce sont deux boissons diffĂ©rentes, qui ne prĂ©sentent pas les mĂȘmes qualitĂ©s nutritionnelles. Les autres aliments riches en calcium oOn nous rĂ©pĂšte souvent que le lait est indispensable, car il est une source de calcium. Il est vrai que les produits laitiers en contiennent, mais il serait faux de dire qu’ils sont la seule source de calcium que l’on trouve dans l’alimentation 14. En effet, on retrouve de grandes quantitĂ©s de calcium dans d’autres aliments tels que les olĂ©agineux amandes, noix, noix de cajou, noisettes, etc., le chou et les sardines. Il en est de mĂȘme dans le saumon, les anchois, les Ă©pinards, le soja, les diffĂ©rents haricots, la spiruline ou bien encore le tofu. N’hĂ©sitez donc pas Ă  varier au maximum votre alimentation. Mais aussi Ă  favoriser le calcium contenu dans les vĂ©gĂ©taux, grandes sources de vitamines et de minĂ©raux. Quelques exemples d’aliments riches en calcium Sardines en boĂźte 400 mg pour 100 g Épinards 168 mg pour 100 g Amandes 250 mg pour 100 g Tofu ferme 683 mg pour 100 g Boisson au riz enrichie 319 mg pour 250 g
BesoinfrĂ©quent d'uriner : Comprendre. L'envie d'aller aux toilettes survient d'habitude lorsque la vessie contient environ 250 Ă  300 millilitres de liquide (un peu plus d'une tasse). L'ĂȘtre humain Ă©limine en moyenne un Ă  deux litres d'urine quotidiennement. Il est normal d'uriner six Ă  huit fois par jour et d'aller aux toilettes une fois durant la nuit.
Jusqu'Ă  quelle heure peut-on boire du cafĂ© ? Vous pensez que le cafĂ© de l'aprĂšs-midi n'a aucune incidence sur la qualitĂ© de votre sommeil ? Faux ! Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e par une Ă©quipe de chercheurs de Detroit aux États-Unis rĂ©vĂšle que la cafĂ©ine agit sur le sommeil, mĂȘme consommĂ© six heures avant le coucher. Si vous souffrez de troubles du sommeil, mieux vaut peut-ĂȘtre Ă©viter le cafĂ© de l'aprĂšs-midi et jusqu'Ă  six heures avant l'heure prĂ©vue du coucher. En effet, selon une Ă©tude rĂ©alisĂ©e par une Ă©quipe de chercheurs de la Wayne State University de DĂ©troit États-Unis et publiĂ©e dans le Journal of Clinical Sleep Medicine, les effets de la cafĂ©ine seraient bien plus tenaces qu'on ne le pense. Pour en avoir le cƓur net, les scientifiques ont soumis 12 volontaires ayant un sommeil normal Ă  une expĂ©rimentation. Pendant quatre jours d'affilĂ©e, ils devaient s'abstenir de boire du cafĂ© et avaler trois comprimĂ©s Ă  des heures diffĂ©rentes, six heures avant le coucher, trois heures plus tard et au moment du coucher. Chaque comprimĂ© contenait 400 mg de cafĂ©ine l'Ă©quivalent de deux ou trois tasses de cafĂ© et les deux autres un placebo. Afin d'Ă©tablir des comparaisons, le quatriĂšme jour, seuls des comprimĂ©s inactifs ont Ă©tĂ© donnĂ© aux cobayes ». À noter que durant toute la durĂ©e du test, ces derniers n'avaient aucune idĂ©e du type de comprimĂ©s qu'ils ingurgitaient. >> DĂ©couvrez notre sĂ©lection de sports qui amĂ©liorent le sommeil <
PlusieursĂ©tudes sur le Cialis ont Ă©tĂ© menĂ©es et il semble en ressortir le mĂȘme rĂ©sultat : le moment idĂ©al pour en prendre se situe entre 4 et 24 heures avant le rapport sexuel. En effet, c’est dans cette fourchette de temps que les meilleurs taux de rĂ©ussite s’affichent, tutoyant les 80%. Voici un graphique permettant de savoir le
Mis Ă  jour le 11/12/2015 Ă  12h10 Validation mĂ©dicale 11 December 2015 Si elle est naturellement prĂ©sente dans le cafĂ©, le thĂ©, le chocolat, la cafĂ©ine1 est aussi ajoutĂ©e Ă  certains sodas. Or, ces derniers sont trĂšs apprĂ©ciĂ©s des enfants qui les rĂ©clament parfois quotidiennement. A quelle quantitĂ© de cafĂ©ine les plus jeunes sont-ils exposĂ©s ? Y a-t-il une limite Ă  ne pas dĂ©passer ? Si oui, comment la respecter ? A dose modĂ©rĂ©e, la cafĂ©ine a des effets stimulants bien connus et plutĂŽt positifs. Au-delĂ  d'une certaine quantitĂ©, variable en fonction des personnes, elle peut cependant provoquer certains troubles comme une irritabilitĂ©, des maux de tĂȘte ou des difficultĂ©s d'endormissement. La cafĂ©ine, pas si anodine A dose modĂ©rĂ©e, la cafĂ©ine 1 a des effets plutĂŽt positifs puisqu'elle favorise les capacitĂ©s d'attention et la vivacitĂ© d'esprit. Les personnes les plus sensibles, peuvent toutefois se sentir irritables, avoir des palpitations et Ă©prouver des difficultĂ©s Ă  s'endormir avec une seule tasse de cafĂ© 2,3. A dose importante, la cafĂ©ine produit des effets similaires Ă  ceux de l'adrĂ©naline avec une augmentation du mĂ©tabolisme, de la pression artĂ©rielle, des rythmes cardiaque et respiratoire... A l'extrĂȘme, elle provoque des tremblements, des maux de tĂȘte, des vertiges et des troubles digestifs crampes abdominales, nausĂ©es, vomissements. Une consommation chronique peut induire une dĂ©pendance qui se manifeste par des symptĂŽmes de manque en cas d'arrĂȘt brutal maux de tĂȘte, irritabilitĂ©, fatigue.... Il est cependant difficile de donner une quantitĂ© limite au-delĂ  de laquelle les effets dĂ©sagrĂ©ables de la cafĂ©ine apparaissent. S'il faut le plus souvent 3 Ă  4 heures pour Ă©liminer la moitiĂ© de la dose absorbĂ©e, certaines personnes mettent plus de 10 heures du fait de particularitĂ©s gĂ©nĂ©tiques ou de circonstances particuliĂšres grossesse, prise d'alcool simultanĂ©e, maladie hĂ©patique.... Par ailleurs, une consommation rĂ©guliĂšre de cafĂ©ine attĂ©nue l'ensemble de ses effets, positifs comme nĂ©gatifs. En tenant compte de sa vitesse d'Ă©limination, donc de son accumulation potentielle, le Dr Jean-Michel Cohen*, nutritionniste, conseille de ne pas consommer plus de 300 mg de cafĂ©ine toutes les 6 Ă  8 heures. Les autoritĂ©s de santĂ© considĂšrent en effet qu'en-dessous de 300 Ă  400 mg par jour 4, elle ne pose pas de problĂšme particulier ou alors trĂšs transitoire chez un adulte en bonne santĂ©. Des apports en cafĂ©ine difficiles Ă  Ă©valuer PrĂ©sente dans les feuilles, les fruits ou les graines de nombreux vĂ©gĂ©taux, on la retrouve donc "naturellement" dans le cafĂ©, le thĂ©, le cacao, le guarana ou le matĂ©... Mais aussi dans d'autres boissons, notamment les sodas colas cafĂ©inĂ©s, thĂ©s glacĂ©s, boissons Ă©nergisantes 5 et certains mĂ©dicaments. Dans le cafĂ©, sa concentration varie en fonction des variĂ©tĂ©s et du mode de prĂ©paration. Elle est en moyenne de 400 mg/l pour le cafĂ© instantanĂ© 60 mg par tasse, plus faible dans le thĂ© et les produits chocolatĂ©s 2, 3. Dans les sodas, les industriels ne sont pas tenus de mentionner la prĂ©sence de cafĂ©ine en dessous de 150 mg/l, a fortiori sa concentration. Les analyses montrent que cette derniĂšre varie du simple au triple dans les colas cafĂ©inĂ©s avec moins de 30 mg/l pour les colas de marques distributeurs Leader Price et Casino et plus de 100 mg/l pour le Pepsi et le Coca Cola avec un record Ă  118 mg/l pour le Coca Cola light. Dans les thĂ©s glacĂ©s, elle oscille entre 30 et 70 mg/l 6. Finalement, il n'y a que sur l'Ă©tiquette des boissons Ă©nergisantes que l'on peut trouver des chiffres prĂ©cis. La concentration de cafĂ©ine y est gĂ©nĂ©ralement comprise entre 300 et 400 mg/l 2. CafĂ©ine quelles sont les recommandations chez l'enfant ? Concernant l'impact de la cafĂ©ine chez les plus jeunes, le conseil europĂ©en de l'information sur l'alimentation EUFIC prĂ©cise 3 " Les enfants ont gĂ©nĂ©ralement la mĂȘme capacitĂ© pour traiter la cafĂ©ine que les adultes. Des Ă©tudes ont montrĂ© que les aliments et boissons contenant de la cafĂ©ine, pris en quantitĂ©s modĂ©rĂ©es, n'ont aucun effet dĂ©tectable sur l'hyperactivitĂ© ou la durĂ©e d'attention des enfants. Cependant, chez les enfants sensibles, de fortes doses de cafĂ©ine peuvent causer des effets temporaires comme de l'excitation, de l'irritabilitĂ© ou de l'anxiĂ©tĂ©". Comme les adultes en somme. À voir aussi Si l'EUFIC ne fixe aucune limite spĂ©cifique aux enfants, il reste indispensable de tenir compte de leur faible poids. Si l'on reprend la dose maximale journaliĂšre considĂ©rĂ©e comme sans danger chez l'adulte4, la quantitĂ© de cafĂ©ine Ă  ne pas dĂ©passer pour un enfant de 20 kilos poids moyen vers 7 ans est de 100 mg. Les Etats-Unis et le Canada, qui estiment quant Ă  eux que les enfants pourraient ĂȘtre plus sensibles Ă  la cafĂ©ine, fixent la limite Ă  2,5 mg par kilo 2. La dose maximale journaliĂšre admissible est alors rĂ©duite Ă  seulement 50 mg pour un enfant de 7 ans... En principe, les enfants ne consomment pas de cafĂ© ou de thĂ©. Chez eux, la cafĂ©ine provient essentiellement des produits chocolatĂ©s et, de plus en plus, des sodas cafĂ©inĂ©s. L'EUFIC estime que les sodas peuvent apporter jusqu'Ă  160 mg de cafĂ©ine par jour chez un enfant de dix ans 3. Chez les plus ĂągĂ©s, les quantitĂ©s peuvent toutefois ĂȘtre bien supĂ©rieures, en particulier s'ils sont amateurs de boissons Ă©nergisantes Red Bull, Monster, Burn.... Le Dr Marie-Laure Frelut**, pĂ©diatre, remarque " Les parents m'expliquent que leurs enfants sont surexcitĂ©s ou peinent Ă  trouver le sommeil. Comment ne pas s'interroger ?" NON aux rĂ©gimes, OUI Ă  WW ! Le plus simple est de raisonner en termes de quantitĂ©s. Approximativement, on peut considĂ©rer que la dose de cafĂ©ine apportĂ©e par une tasse de cafĂ© instantanĂ© 150 ml, deux canettes de cola "de marque" 660 ml, une bouteille de thĂ© glacĂ© 1500 ml, une canette de boisson Ă©nergisante 250 ml ou 100 g de chocolat noir est Ă©quivalente. Cette quantitĂ© correspond Ă  la dose quotidienne maximale recommandĂ©e pour un enfant de 10-12 ans. Elle doit ĂȘtre diminuĂ©e d'un tiers entre 7 et 9 ans et de moitiĂ© entre 4 et 6 ans 2. Quelques repĂšres concernant les quantitĂ©s et concentrations de cafĂ©ine dans des produits courants Aliment ou boisson contenant de la cafĂ©ine QuantitĂ© moyenne de cafĂ©ine par part Concentration moyenne en cafĂ©ine mg/l Boisson Ă©nergisante 70 Ă  100 mg par canette de 250 ml 280-400 Soda cafĂ©inĂ© 7 Ă  42 mg par canette de 330 ml 30-130 ThĂ© glacĂ© 40 Ă  70 mg par litre 40-70 CafĂ© expresso 75 mg par tasse de 28 ml 2 700 CafĂ© instantanĂ© 50 Ă  70 mg par tasse de 150 ml 330-470 ThĂ© 30 Ă  50 mg par tasse de 230 ml 130-200 Lait chocolatĂ© 8 mg par tasse de 230 ml 35 Chocolat Ă  croquer 4 Ă  20 mg pour un quart de tablette 16 Ă  80 mg aux 100 g Le Dr Cohen conseille d'Ă©viter toute boisson sucrĂ©e, y compris les sodas cafĂ©inĂ©s, chez les enfants de moins de 4 ans " Les enfants plus ĂągĂ©s peuvent consommer une Ă  deux canettes de boisson cafĂ©inĂ©e par jour en fonction de leur Ăąge. Pas davantage, Ă  cause de la cafĂ©ine mais aussi du sucre trĂšs prĂ©sent dans les sodas". Peut-on opter pour des versions light ? " Mieux vaut Ă©viter l'aspartame car ses effets sur la rĂ©ceptivitĂ© au sucre sont encore mal compris chez l'enfant", poursuit le Dr Cohen. " Les sodas contiennent des substances pas toujours identifiĂ©es ou controversĂ©es, ils sont acides pour les dents et entretiennent le goĂ»t du sucrĂ©, complĂšte le Dr Frelut . En tenant compte du fait que les enfants consomment dĂ©jĂ  de la cafĂ©ine dans les produits chocolatĂ©s, je dĂ©conseille aux parents de leur donner ces boissons qui n'apportent rien de bon. » Les boissons Ă©nergisantes, souvent consommĂ©es par les enfants les plus ĂągĂ©s, voire les jeunes ados, inquiĂštent particuliĂšrement la pĂ©diatre " Une canette contient l'Ă©quivalent d'un Ă  deux cafĂ©s. Or, ces boissons sont souvent associĂ©es Ă  l'alcool qui retarde l'absorption de la cafĂ©ine". Le Dr Cohen regrette aussi leur banalisation qui favorise l'addiction Ă  la cafĂ©ine, donc les symptĂŽmes de manque, et la consommation d'alcool, son goĂ»t Ă©tant masquĂ© par leur forte teneur en sucres. 1. Le nom scientifique de la cafĂ©ine est 1,3,7-trimĂ©thylxanthine. Elle est aussi appelĂ©e thĂ©ine, guaranine, mĂ©thylthĂ©obromine, mĂ©thylthĂ©ophylline. 2. Boissons Ă©nergisantes risques liĂ©s Ă  la consommation et perspectives de santĂ© publique, Institut National de santĂ© publique du QuĂ©bec, novembre 2010 3. Mythes et rĂ©alitĂ©s sur la cafĂ©ine 2002 et CafĂ©ine et santĂ© 2007 sur le site du conseil europĂ©en de l'information sur l'alimentation EUFIC 4. Soit 5 Ă  6 mg par kilo de poids corporel on considĂšre gĂ©nĂ©ralement qu'un adulte pĂšse entre 60 et 70 kilos. 5. A ne pas confondre avec les boissons Ă©nergĂ©tiques destinĂ©es aux sportifs. 6. Colas, sodas... ce que vous buvez vraiment, dossier du magazine 60 millions de consommateurs n°473, juillet-aoĂ»t 2012
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  • a partir de quel age peut on boire du cafĂ©